AVRIL
Les œillets rouges ont poussé sur les pavés
Arrosés par une soif inaltérable de liberté
Une révolution a germé dans les esprits
Sans que coule une goute de sang dans le pays
Il a suffit d’une chanson comme signal
Pour que toutes les rues du Portugal
Se remplissent de tout un peuple réuni
Autour des promesses d’une nouvelle vie
Et mon vieux père exilé loin de sa terre patrie
N’a pas pu voir passer cette onde d’amis
Et marcher tranquillement le long de l’avenue
Légere comme l’air, libre de penser, sans retenue
Luis Coixao
Commentaires
commentaires