Le parc national de Peneda-Gerês est situé au Nord du Portugal, contre la frontière espagnole. Ce paradis terrestre végétal est « modelé par les montagnes, les torrents et les rivières, les cascades, les gorges et les canyons. La plupart des villages occupent les vallées inférieures, au climat plus doux et au terrain plus accueillant pour les hommes comme pour le bétail. Mais le cœur sauvage du parc se situe en altitude, royaume d’imposantes roches de granite déchiquetées, de landes battues par les vents et de plateaux désertiques parsemés de taches vertes des houx géants. »(Wikipedia). ce sont les deux massifs montagneux au relief très accidenté qui ont donné leur nom au parc : la serra da Peneda et la serra do Gerês, qui culminent à plus de 1400 mètres d’altitude. Ils reçoivent d’importantes précipitations, d’où leur aspect toujours verdoyant.
Ce parc naturel délimité en 1971 afin de protéger la faune, la flore et les sites archéologiques, enchantera les randonneurs les plus aguerris et tous les amoureux de la nature et des espaces sauvages.
Dans l’Antiquité, la serra do Gerês était traversée par de nombreuses routes, notamment celle qui reliait Braga à Chaves. Des pistes franchissaient les cols, notamment à Portela do Homem (photos). Il subsiste encore par endroits des traces de la via Geira (à laquelle Gerês doit son nom), la voie romaine qui reliait Braga à Rome.
- Next story 10 JUIN : JOUR DU PORTUGAL, DE CAMÕES ET DES COMMUNAUTÉS PORTUGAISES
- Previous story SAGRES : mythique, mystique, sauvage – un patrimoine historique, culturel et naturel unique
LIVRE / IMMIGRATION PORTUGAISE
« J'ai le mal du pays. J'ai beau entendre parler notre langue autour de moi. J'ai beau lire les journaux portugais. J'ai beau manger comme au Portugal. Je ne suis pas au Portugal. Mon village me manque. L'absence de ma famille se fait sentir de plus en plus. Rien ne permet de remplir ce vide. Ni les pensées, ni les photos, ni les souvenirs. Pas même l'espoir de les revoir un jour. Ah la saudade de l'immigré ! A peine parti, on regrette déjà d'être parti. Mon pays semble déjà si lointain. Ma famille me manque déjà terriblement. Le temps passe. Inexorablement. Le vide s'installe en nous. Un vide que rien n'arrive à combler. Pas même le sourire sur une photo de ceux que j'aime. Pas même une chanson qui sonne comme à la maison. Pas même mes voisins d'infortune avec qui je parle dans ma langue maternelle comme si j'étais au pays. Mais je ne suis pas au pays. Je n'entends jamais vos rires. Je n'éponge jamais vos pleurs. Je ne suis rien sans vous. Je vous aime plus que tout et je ne peux pas vous le dire en face. Venez vite me rejoindre. »
Agenda culturel
Voyage au Portugal
Musique
Sites recommandés
- Aldeia de Gralhas
- Je Pleure Sans Raison
- LusoJornal
More
-
Agenda / Musique / Musique du Monde Lusophone
FADO et BATIDA au Tribu Festival de Dijon
22 sept, 2014
-
Immigration / Lusodescendant / Portugais de France / Radio & Télévision
PORTUGAL À PARIS « Sur les Docks » émission diffusée sur France Culture
8 sept, 2014
-
Economie / Portugal utile
FISCALITÉ – Le Portugal, un paradis pour les retraités français
26 août, 2014
-
STREET ART – L’artiste portugais PANTÓNIO a peint la plus grande fresque murale d’Europe à…Paris
4 juil, 2014
-
- Adriano Correia de Oliveira Afonso Henriques Agenda Algarve Amália Rodrigues Ana Moura António Zambujo Azuléjo BD Brésil Camões Cesaria Evora Cinéma portugais Coupe du monde Cristiano Ronaldo documentaire DVD Emigração Portuguesa Fado Fernando Pessoa Festival foz côa Freixo de Numão Gérald Bloncourt Immigration jazz Lisbonne Lusodescendant Mariza Mon père ce héros Pedro Abrunhosa Porto Rock Portugais Rock português Rui Veloso Révolution des Oeillets Saudade Seleção Street Art Templiers Tourisme unesco Viriato Voyage Zeca Afonso